Exposition suite à une résidence d’un mois et demi à la Galerie Arte de Saint-Louis
Tableaux : acrylique, pigments, minéraux
gravures carburandum
sculpture en bois et en bronze
Sur certains tableaux, sont écrits des vers en persan du poète Omar Kayyam
tableaux : acrylique, pigments et minéraux / gravures carburandum / sculpture en bois et en bronze
Des vers en persan du poète Omar Kayyam sont inscrits sur certains tableaux
le retour 100 x 100

le pont faidherbe 65 x 92 vendu

le passage 70 x 50

le néant – hitch – 50 x 40 vendu

le cyprès 30 x 30

le baobab 40 x 29 collection privée

l’aube 35 x 27

l’arbre de vie 46 x 38 vendu

mémoire du poète 30 x 30 vendu

pagne 24 x 30

la porte du soleil 92 x 65

la poterie du poète 50 x 40

l’afrique 40 x 29

l’apparition 40 x 56

entre fleuve et mer 70 x 100

la fleur de palmier 46 x 38

le jardin persan 100 x 70 vendu

la colombe 70 x 50 vendu

la lettre du poète 30 x 30

la nuit des poètes 130 x 100

brassage des filets de pêche 80 x 80

l’arche de noé, 80 x 80

la porte de l’Afrique, 90 x 70, collection privée

la voile, 20 x 20, collection privée

l’esprit, 70 x 50,

petit oiseau, 20 x 20 collection privée

paysage, 24 x 18, collection privée
gravure carborundum
entre 2 rives, gravure carborundum
hommage à papart, gravure carborundum

le tourbillion 40 x 29 collection privée
petit village, gravure carborundum

entre fleuve et mer 70 x 100

latérite 80 x 80

rives rouge 80 x 80

le croisement, 100 x 70

alef 100 x 70 vendu

forêt bleue 100 x 100 vendu
oiseau soleil, lithographie, gravure carborudum

entre 2 rives, lithographie, gravure carburandum

la pirogue, sculpture bois de pirogue, vendu
Poussières, terres, pigments d’Orient et d’Afrique s’entremêlent au gré des vents migratoires et aléatoires sur la toile de l’artiste Chahab, venu d’Iran et résidant pour la première fois en terre d’Afrique. En effet, Chahab vient de terminer une résidence d’un mois et demi à la Galerie Arte de Saint-Louis et a créé les œuvres de l’exposition « Quand l’Orient chante l’Afrique ».
Il réalise enfin un rêve, celui de la rencontre de ces continents à travers son œuvre. Inspiré par la vue qu’il a de son atelier éphémère donnant vue sur le fleuve Sénégal, il extériorise ses émotions, bercé par les quatrains d’Omar Khayyâm, et se rappelle son enfance. Cette exposition est un voyage au Sénégal vu à travers l’univers de Chahab où se conjuguent les réminiscences de sa culture persane avec sa découverte du continent africain.
Il utilise quelquefois des pigments, des minéraux et de l’acrylique où le bleu prédomine, bleu comme le fleuve Sénégal, bleu comme les turquoises d’Iran. Il récupère aussi parfois des planches d’une épave de pirogue de Guet Ndar pour en faire une sculpture majestueuse.
Toutes ses œuvres ont leur particularité : elles se réunissent en chœur telle une ode de l’Orient pour l’Afrique.
Joëlle le Bussy
Février 2017
ARTICLE DU SOLEIL 17 FEVRIER 2017